Actualités, La Londe

Le goût et la qualité à l’honneur dans les assiettes des enfants

En effet, en ce qui concerne la restauration scolaire, La Londe adore le bio !

Car, depuis une dizaine d’année, les restaurants scolaires de la commune proposent, une semaine par mois, des repas préparés par la ville 100% bio. Et, qui sont très appréciés par les enfants ! Bref, qu’on se le dise, le goût et la qualité sont toujours à l’honneur dans les assiettes des enfants !

600 REPAS PAR JOUR

Avec 600 repas préparés et servis chaque jour dans les cuisines municipales par une vingtaines d’agents, le bio s’est imposé presque naturellement. « Ainsi, la semaine bio a fait ses preuves. Elle plaît autant aux parents qu’aux enfants. Grâce à l’action du service des Affaires Scolaires, nos jeunes goûtent de tout lors des repas. Cela s’inscrit, en cohérence, avec la sensibilisation au bien manger que nous promouvons au travers du potager pédagogique de la Brûlade », rappelle, avec pertinence, François de Canson, le maire.

Pour le premier magistrat communal : « C’est un choix fort que nous avons pris pour permettre à nos enfants de manger plus sainement. Ainsi, 20% des repas servis aux enfants des écoles maternelles et primaires sont entièrement réalisés avec des produits bio certifiés ».
Pour obtenir un tel résultat, le service des Affaires Scolaires fait appel aux prestataires bio pour acheter l’ensemble des denrées nécessaires à la confection des repas de la semaine bio.

SANS INCIDENCE FINANCIERE POUR LES FAMILLES


« Nous achetons des légumes, des fruits, de la viande et du poisson mais aussi les pâtes, le fromage et les yaourts, les biscuits ou encore les huiles, le beurre et les condiments qui entrent dans la fabrication de ces repas » expliquent, d'une même voix, Charles Cirk chef de la cuisine de l’école Jean-Jaurès, et Nathalie
Giraud, directrice du service.
Concrètement, de l'entrée au dessert, tous les composants du repas sont bios. « Nous avons fait le choix de regrouper les menus bio sur une semaine car c’est plus simple à gérer sur le plan de l’approvisionnement et de la préparation mais c’est surtout plus lisible pour les familles. Si le coût d’un repas bio est d’environ 60% plus cher qu’un repas traditionnel, cela reste sans incidence sur le prix payé par les familles », conclut Nicole Schatzkine, adjointe au maire en charge des Affaires Scolaires, véritablement séduite par le succès de la démarche.

Photos : Michel ROBERT

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